La jeune Victoria naît et grandit à quelques pays de l’hexagone, en Ukraine. Pourtant, c’est bien en France, que son histoire va véritablement s’écrire. Le prénom donné par ses parents laisse déjà augurer un goût prononcé pour le raffinement mais aussi une réussite incontestable dans ce qu’elle entreprendra plus tard. Si pour l’heure elle doit vivre à l’heure ukrainienne, la jeune femme a depuis toujours les yeux tournés vers la France, fascinée par le savoir-faire de ce pays dont l’audace a fait les rois.

C’est couronnée d’un premier cycle universitaire en Suède en Management International que Victoria s’installe à Paris réaliser son rêve d’enfant.. Ce n’est pas tant la lignée royale séculaire qui l’émerveille mais plutôt les rois de la mode qui ont su pendant des décennies joué divinement avec les tissus et les volumes. La voici enfin dans son véritable royaume, avec la langue de Molière à apprivoiser. Victoria se donne les moyens. Elle finit par décrocher un stage chez le créateur avant-gardiste Gaspard Yurkievich, afin de faire régner davantage la marque en Europe de l’Est. La jeune femme multiplie les expériences dans de grandes maisons prestigieuses, porte-étendards de l’élégance et de l’exubérance à la française – Balmain, Raphaël de Lacroix, Lancaster et Saint Laurent – mais aussi pour des entités plus confidentielles à l’image d’un showroom italien implanté dans la Capitale. De fil en aiguille, Victoria apprivoise les codes, met ce monde dans sa poche, et prend du galon en devenant responsable des ventes. L’inventivité des départements voisins du design et de la production finit toutefois par déteindre sur la jeune femme, qui aimerait troquer ses feuilles de calcul pour des feuilles à dessin…

Elle voit par-dessus son épaule 2020 se profiler. Victoria perçoit cette année ronde comme une nouvelle décennie faite de promesses et l’occasion d’aller encore plus loin dans la réalisation de son rêve. Victoria s’en sent l’étoffe, au regard d’un père et d’une sœur entrepreneurs eux-aussi. Elle commence à dédier ses soirées à ce projet qui murît doucement en elle… Mais ses nuits ne suffisent plus devant son envie d’aller plus vite. Victoria démissionne et se retrousse immédiatement les manches devant le col qu’elle s’apprête à grimper : lancer son propre vestiaire, autour d’un mono-produit, la veste. Victoria a de sérieux atouts dans sa manche, à commencer par une volonté et un enthousiasme renversants. Elle retrouve ses crayons et esquisse ses premiers modèles. Elle se met à la recherche des meilleurs tissus et se fait aider d’un atelier français pour donner vie à ses créations. La Jaquette naît en octobre 2020, comme une promesse tenue. Une collection de trois vestes et dix couleurs – bleu de France, vert impérial ou encore noir Vendôme  Veste cintrée, ceinturée, déstructurée, épaulée ou ajustée, il y en a pour tous les goûts et toutes les morphologies.

La Jaquette  existe uniquement en ligne, sans intermédiaires, pour nous garantir le prix le plus juste. Sensible à la cause animale, elle verse un euro à chaque commande pour la protection des animaux en France. Une femme de tête et de cœur. La jeune Victoria n’a pas fini de régner parmi les jeunes créatrices talentueuses…

Crédit photos: La Jacquette.

Un grand merci à Victoria !